Alliance pour la Renaissance Nationale (ARENA)

ARENA

posté le 22-08-2013 à 17:31:11

INFORMATION

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posté le 19-08-2013 à 11:02:57

Richard MOULOMBA MOMBO : le nouveau président en exercice de l’Union des Forces du Changement (UFC).

Richard Moulomba Mombo,Président en exercice de l’UFC.

 


 
 
posté le 15-08-2013 à 21:43:45

Richard MOULOMBA MOMBO,Président en exercice de l'UFC

 Depuis le 1er Juillet 2013,le Président de l'ARENA assure la présidence de lq'union des Forces du Changement.......

 


 
 
posté le 15-08-2013 à 21:36:01

Droit de Réponse

MISE AU POINT

Depuis quelques temps, M. Richard MOULOMBA MOMBO, le Président de l’Alliance pour la RenaissanceNationale (ARENA) et quelques uns de ses paires de l’Union des Forces du Changement (U.F.C) sont l’objet d’attaques qui portent gravement atteintes à leur réputation. Plusieurs articles de presse écrite, en ligne et audiovisuelle, dont les auteurs sont clairement identifiés,répandent des informations diffamantes et mensongères tendant à faire passer M. Richard MOULOMBA MOMBOpour un opposant alimentaire, à la solde du pouvoir en place.
 


 
 
posté le 14-08-2013 à 20:41:00

LETTRE DE Monsieur ABESSOLO NKOGHE Mesmin au Président de l'ARENA

ABESSOLO NKOGHEMesminMaster 2 en Management de la qualitéLibreville, le 25 juin 2013E- mail : abessolonkoghe@yahoo.frAMonsieur Richard MOULOMBA MOMBOPrésident de l’Alliance pour la Renaissance Nationale (ARENA).LibrevilleObjet : Votre positionnement politiqueMonsieur le Président et cher compatriote,J’imagine la surprise qui sera la votre quand vous recevrez la lettre d’un parfait inconnu. Je dois avouer que j’ai moi-même hésité avant de me décider. Alors pour la seconde fois, je prends ma plume pour soulager ma conscience, d’une part, et pour tenter modestement de vous aider à ôter, une bonne fois pour toute, le bandeau qui recouvre votre vue,vous empêchantainsi de percevoir les choses telles qu’elles sont, d’autre part. Je vous prie de pardonner mon audace. La première fois, je me suis permis de ramener sur terre aussi gentiment que gratuitement mon frère marc ONAqui,alors emmitonné par un discours tribal, s’était cruinvesti d’une mission prophétique.La diarrhée verbale qu’il ne cessa de déverser quotidiennement sur une partie des dirigeants de l’opposition gabonaise ne pouvait laisser insensible le partisan du changement que je suis.Ma démarche de ce jour doit être comprise comme la démarche d’un père, un ainé, un oncle, un bon ami, bref d’un homme juste qui assiste impuissant à la déperdition d’un fils, un cadet, un neveu, un ami talentueux. Oui, je ne suis ni de votre ethnie, ni de votre province d’origine, ni militant de votre parti et encore moins une de vos fréquentations. Je vous connais à travers la presse, les messes politiques, les témoignages d’amis, etc.J’observe la vie politique de notre pays depuis 1990. A la suite de ce qui est convenu d’appeler le « scénario MBA ABESSOLO » en 1993, je me suis amusé depuis lors à tracer la trajectoire de nos leaders politiques de premier plan et conséquemment celle de leur chapelle. Croyez-moi, pour la presque totalité de ceux qui nous ont fait rêver, les courbes partent toutes d’un point commun nommé opposition pour se rejoindre en un autre point essentiel, une énergie aspirante, appelée majorité présidentielle. Inaugurée par les MAGANGA MOUSSAVOU Pierre-Claver,MAYILA Louis Gaston,BOURDES OGOULIGUENDE Jules Aristide, MYBOTO Zacharie, et autres,la trajectoire inverse à connu son apogée en 2009 quand plusieurs« roitelets intouchables », transfuges du Parti Démocratique Gabonais(PDG), tels que MBA OBAME André,EYEGHE NDONG Jean, OYE MBA Marie Ange dit Casimir, ont atterrit de façon inattendue dans l’opposition avec liasses, rancœurs et surtout la ferme intention de cracher dans la soupe quiles a nourris des décennies durant. Quelques uns, dans un jeu de rôle, seraient même en mission d’infiltration. D’autres encore auraient eu pour rôle de détruire et anéantir toute velléité d’alternance dans notre pays. L’avenir nous le dira.Au-delà de l’inconstance (à l’exception de Me MAYILA dont c’est le sport favori), du nombrilisme, de la tartuferie et du jusqu’au-boutismequi caractérisent certains d’entre eux, ces hommes politiques ont tous amassé des trésors de guerre sur le dos du contribuable et sont tout autant comptables que leurs fraters demeurés au PDG de la situation difficile que traverse le peuple gabonais. Ils ont œuvré plaisamment à l’instauration de la ploutocratie au Gabon, sorte de bourgeoisie négrière qui a plongé 95% de leurs compatriotes dans une pauvreté sans fin.Tous bénéficient encore des avantages matériels et financiers indécents que leur garantit le système BONGO (visitez la loi des finances pour vous en convaincre). Combien sont-ils ces anciennes vedettes du PDG à avoir renoncé aux avantages liés à leurs anciens statuts de ceci ou de cela, ne serait-ce que par solidarité au peuple gabonais dont ils découvrent subitement lagrande misère ? Croyez-moi, Monsieur le Président, les habitudes sont une seconde nature : a beau chasser le naturel, il revient toujours au galop ; surtout quand on a usé et abusé impunément des biens de l’Etat ; quand des années durant on a puisé affreusement dans les caisses de l’Etat, privant ainsi le peuple gabonais de routes bitumées, d’écoles suffisantes, d’hôpitaux de premier choix,de ponts, d’équipementscollectifs structurants. Bref, pour reprendre vos propres propos, « on ne peut plus se suffire de quelques pièces de monnaie, derniers souvenirs d’un passé minable. Se contenter du confort lassant du « baronnât », statut plus décoratif que fonctionnel», est un camouflet pour ce club de milliardaires insatisfaits . Dieu merci ! Quelques rares hommes politiques de notre pays ont refusé, malgré les pressions, de prendre part à ce « bal de sorciers » oùla rapine, la compromission, le mensonge, la fourberie et la trahison sont érigés en vertus cardinales. Ces compatriotes appartiennent assurément à une autre race d’hommes politiques engagés pour des valeurs, des idées, bref pour servir et non se servir. Certes, aujourd’hui ils sont la risée de leurs collègues milliardaires. Leur parole ne pèse pas. Ils ne mobilisent pas assez de militantes et militants car ils n’ont ni argent, ni tee-shirt et pagnes à distribuer. Pourtant, ce qu’ils ont de cher et que tous les autres ont perdu n’a pas de prix : la dignité et l’honneur. Ces hommes sont politiquement immaculés, d’où le danger qu’ils constituent aux yeux de ceux qui se sont noyés jusqu’au coup. Ils s’appellent MBOU YEMBI Léon, MOUANG BADING, MENDOU NGUEMA Samuel et MOULOMBA MOMBO Richard. L’évocation de leurs noms peut prêter à sourire mais ce qu’ils représentent aux yeux de plusieurs gabonais lucides est remarquable.Monsieur le Président,Des quatre (04) leaders que je viens de citer, vous êtes précisément le plus jeune donc l’avenir. Et votre parcours politique milite pour vous. Qui dans ce pays ne vous a pas vuen action, au front vous battant pour le respect du verdict des urnes ? Qui ignore vos prises de position dans ce pays ? Qui dans ce pays ignore que toute une promotion de l’Institut de l’Economie et des Finances (I.E.F) à été renvoyée du fait de votre présence, alors même que vous en étiez le major du concours d’entrée et le meilleur dans le parcours? Qui ignore qu’élu député en 2006 et ayant porté l’écharpe de l’assemblée nationale, vous fûtes sacrifié sur l’autel de la sorcellerie politique ? Qui ignore que vous avez courageusement tenu la barque UPG alors que son Président feu Pierre MAMBOUNDOU se trouvait éloigner de Libreville ou quelquefois du Gabon ?Qui ignore ici que vous êtes le véritable héritier politique de feu Pierre MAMBOUNDOU à l’ombre de l’autorité duquel vous avez fait toutes vos classes politiques ?Monsieur le Président,J’en viens à la question centrale de ma lettre. Qu’attendez- vous pour tracer votre propre sillon ? Autrement dit que faites-vous indéfiniment avec des hommes qui par leurs turpitudes finiront par tenir votre image ? Pourquoi tant d’attentisme et de tergiversation ? Doutez-vous de vous-même aujourd’hui ?Mon épouse me répond que malheur à l’homme seulmais je lui rétorque qu’il vaut mieux être seul que mal accompagné. N’oubliez jamais que le mal est contagieux. Tous ceux qui ont fait du mal sur cette terre connaissent parfaitement leur sort et c’est fort de cela qu’ils veulent entrainer le maximum d’innocents avec eux.J’ai été heureux d’apprendre votre départ de Petit-Paris car la mascarade n’avait que trop durée. Vous êtes entourés des gens quile jour prétendent combattre le système alors que la nuit ils dinent avecceux qui maintiennent le peuple gabonais à genoux.Vous devez vous demander d’où je tiens mes informations.Comme l’a si bien dit feu Omar BONGO, « le Gabon est un pays de verre. Tout ce qui se passe à l’intérieur comme à l’extérieur se sait ».Vous êtes aujourd’hui le fonds de commerce de plusieurs guignols de lapolitique gabonaise. Allez Monsieur le Président, ressaisissez-vous ! Reprenez le flambeau de votre mentor. Un flambeau qui dépérit faute de relayeurs de qualité. Les idées et les valeurs de Pierre MAMBOUNDOU (le MamboudouÏsme) doivent vivre à traves vous.La question des moyens financiers ne doit pas être un frein pour vous car vous ne pourrez battre le PDG sur son propre terrain. Pensez à l’histoire du «mur deJéricho ». Travaillez et apprêtez-vous simplement !Le monde est en mouvement. Il vous appartient de décrypter les événements, car il m’apparait modestement que le Dieu à qui vous faites quotidiennement des éloges a décidé de réécrire l’histoire de l’humanité. A vous de vous fondre dans cette noble vision divine pour le bonheur de la grande majorité des gabonais qui souffrent depuis 50 ans.A ce niveau de ma correspondance, ma conscience est soulagée. Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter bon vent pour l’avenir. J’implore àcet instant mon Dieu pour qu’il éclaire vos pas au milieu des ronces et des rapaces très voraces, et en même temps qu’il éclaire les gabonais afin qu%2